Les « Cafés mortels »

Dans notre société où il n’est pas toujours évident ni facile de formuler ce que l’on ressent, le « Café mortel » propose, dans un climat convivial, un temps et un espace où chacun peut rencontrer d’autres personnes dans un esprit de partage. Le contenu de l’échange se dégage des préoccupations des participant-te-s face à la mort. Il n’y a pas de thème prédéterminé.

Le respect, la bienveillance, le non-jugement, la confidentialité sont de mise.
C’est Bernard Crettaz, sociologue suisse, qui a nommé ainsi ce mode d’échange en lien avec ses souvenirs des repas de funérailles dans sa région natale.

Nous différencions le « Café mortel » d’un groupe de paroles à objectif thérapeutique, d’une réunion d’infos ou avec un spécialiste.

Toute personne mobilisée par le projet peut être à l’initiative d’un " café mortel " invitant des proches, pas plus de 12, en lien avec la commission.